FAI-Télécoms.
Wanadoo, AOL,
Club Internet, Tiscali, Noos, UPC, Numéricâble, 9 Telecom,
Aricia et Interpc (mais pas Free) ont publié dans
l'édition de mardi des Echos une lettre ouverte
aux députés, à la veille de l'examen en deuxième lecture
du projet de loi sur la confiance dans l'économie numérique.
Ils souhaitent sensibiliser les parlementaires sur un
article de loi qui introduirait dans le droit français
le filtrage de l'Internet par les FAI. Les FAI sont convaincus
que cette mesure est dictée par les maisons de disques
confrontées au piratage. Ils déclarent ne pas vouloir
"brader la liberté de communication des internautes
pour réparer les erreurs de l'industrie du disque".
FAI-Télécoms.
Olivier Sichel, le PDG de Wanadoo, a manifesté son intérêt
pour la filiale européenne d'AOL si celle-ci venait à
être cédée par Time Warner. Interrogé lundi sur BFM, Olivier
Sichel a précisé que "c'est un dossier
que l'on regarde mais, que je sache, AOL n'est pas à vendre".
Premier FAI au monde (33 millions d'abonnés), AOL est
présent sur trois marchés européens, la
France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne, un pays où
Wanadoo n'est pas implanté.
Le
Net. MCity, le
portail musical interactif de CanalSatellite, a fermé
ses portes le 31 décembre, a révélé
Satellifax. Le service, édité par Music in Europe (filiale
de Lagardère Active), avait été lancé
en mars 2001 après avoir connu une déclinaison
Web. MCity avait remplacé le bouquet Multimusic et proposait
à son lancement une quinzaine de thématiques
musicales (Talents, Cinésat, Europop rock, Smooth Jazz,
Chanson française...).
Prestataires. Avedya, filiale Internet du groupe
de presse jeunes Edi-Presse et éditeur du portail Nioki,
affiche une base de données de 500.000 membres
inscrits situés dans la tranche d'âge 12/25
ans. Sa base est qualifiée sur 80 critères et comprend
plus de 450.000 numéros de mobile et adresses e-mails
(Lire l'article
du 19/09/03).
Finance. Le fonds
de capital-risque Innovacom 3 a déclaré
fin décembre à l'Autorité des marchés
financiers avoir franchi en baisse à titre passif le
seuil de 5% du capital de SQLI. Dorénavant, elle
détient 4,41% du capital et 6,21% des droits
de vote existants de la SSII.
|