ETO Marketing
Yan Claeyssen,
directeur
On peut s'attendre à certaines conséquences dans le secteur high-tech : en créant de l'incertitude, ce "non" va sans doute ralentir la prise de décision dans certaines entreprises. Cela risque également de mettre entre parenthèses certains projets, notamment ceux financés par l'Europe dans le cadre du Feder, le Fonds européen de développement régional.
Pour le reste, l'activité autour des NTIC va continuer à se développer. Cest un mouvement planétaire de fond, et ce n'est pas le "non" français au référendum qui va l'arrêter. En revanche, en interne, cela a eu des répercussions intéressantes : j'ai eu au téléphone les dirigeants de notre filiale à Madrid, ils sont très durs ! Ils ont tous votés "oui" il y a quelques semaines et ne comprennent pas le "non" français."
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