9 bonnes raisons de devenir développeur indépendant
 
Yarek Chmielewski
 
 
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Yarek Chmielewski travaille sur des développements logiciels. Ses projets vont du vidéo chat au contrôle parental en passant par de l'infographie et de la gestion base de donnée. Il y a 5 ans, Yarek Chmielewski quitte une SSII dont il jugeait les projets trop cloisonnés pour lui. "J'ai besoin de mener un projet de A à Z", explique t-il avec un léger accent. "J'ai donc commencé en fondant une EURL, et ce sans base clients préalable". Proxymis multimédia, son entreprise, vend des logiciels sur Internet par le biais d'un site Web.

"30% des projets que je réalise sont alimentaires. Il s'agit de services que j'effectue pour des clients. Ce qui me plait c'est le développement qui me permet de proposer de nouveaux produits comme le vidéo-chat", explique t-il. Une répartition de ses activités qui lui permet de se concentrer complètement sur des projets qui le passionnent et donnent de la plus valeur à son travail.

35 heures ? Oui mais en 2 jours !

Mais être développeur indépendant, c'est aussi savoir gérer l'administratif et le commercial. "Pour toute la partie administration, je me fais aider par ma femme. Le soir, elle m'aide à faire la comptabilité. Je bénéficie aussi des services d'un comptable externe. Pour la partie commerciale, je ne fais pas de prospection", raconte Yarek Chmielewski.

Reste la formation. "J'achète des CD-roms de sites américains et le soir avant de me coucher je les consulte. J'utilise aussi beaucoup de tutoriels que je trouve sur Internet", explique Yarek Chmielewski. Bref, du matin au soir, ce fondu d'informatique est plongé dans son métier. Et de conclure : "Passionnant mais dévorant en temps. 35 heures ? Oui mais en 2 jours !"


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