Etant donné les fortes synergies entre off et online, les catalogues
papier des vépécistes traditionnels sont loin d'être inutilisés.
Au contraire. 70 % des personnes interrogées déclarent s'en
servir.
Pour la plupart d'entre eux, 57,5 %, ils sont avant tout des outils pour
préparer les achats en ligne. Mais ils ont également une dimension
d'image et de plaisir puisque 20,9 % des personnes interrogés déclarent
les regarder juste pour le plaisir.
Enfin, 9,2 % en ont une utilisation beaucoup plus prosaïque, qui
consiste à préparer leurs achats par courrier ou téléphone.
A noter : 7,8 % des répondant admettent n'en avoir aucune utilité,
mais ils ne les jettent pas pour autant. Dans ces conditions, la mort des catalogues
papier est loin d'être pour demain. Il peut par contre évoluer.