En revanche, ce qui se vend le plus dans le commerce traditionnel et donc le
moins sur la Toile est dans l'ordre : l'automobile (91,7 %), la décoration
(87,5 %), le bricolage et le jardinage (85,5 %), les produits alimentaires
(85,3 %), l'habillement (82 %), la parfumerie et le luxe (80,4
%).
Une frilosité qui peut s'expliquer par différents facteurs :
l'habitude de faire ses courses en magasins, la possibilité de voir, de
toucher et d'essayer les produits, ou encore, le manque de confiance face à
un achat impliquant.
Mais cela signifie également, qu'une fois ces freins levés, ces
secteurs, à l'instar de l'habillement, disposent d'une importante marge
de progression sur Internet.