Le principal frein à la consommation de vidéos n'est pas le manque
d'intérêt pour ce format, mais le manque de temps. 24,2 % des lecteurs
du Journal du Net ayant répondu qu'ils ne regardaient pas de vidéos
évoquent ce critère comme principale raison de leur comportement.
Tout de suite après, vient la peur d'être perturbé par de
la publicité que les internautes jugent sans doute comme étant plus
intrusive sur ce format que dans du texte.
Les préférences en matière de traitement de l'information,
texte ou images, n'arrivent qu'en troisième et quatrième position.
Ici, c'est principalement le manque de recul critique par rapport à l'information
délivrée par une vidéo qui est en cause ou la difficulté
à aller directement à l'information recherchée par l'internaute
qui pose problème.
L'absence de vidéos ou le manque d'intérêt vis-à-vis
de ce format ne recueillent, quant à eux, que 9,1 et 4,5 % des suffrages.