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*Données
au 31/03/2007, fin de l'exercie fiscal 2006/2007 de BT
Malgré leurs chiffres d'affaires impressionnants, les opérateurs
historiques ne sont pas les champions de la rentabilité. Une fois diminués
des coûts opérationnels, charges salariales, investissements, dettes, impôts,
etc., les résultats nets se réduisent comme peau de chagrin, à moins de
5 milliards d'euros. A l'exception de Telefonica. Avec plus de 6 milliards d'euros
de bénéfice net, en hausse de près de 26 % sur un an, l'opérateur historique
espagnol affiche la plus forte rentabilité.
A l'exception de British Telecom, qui a augmenté ses
profits de 15 % sur l'exercice fiscal 2006/2007,
tous les autres opérateurs accusent d'ailleurs un recul
de leur bénéfice net entre 2005 et 2006, de - 43 %
pour Deutsche Telekom, - 25 % pour France Télécom,
à - 6,30 % pour Telecom Italia.
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