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La célèbre anisette Marie Brizard, membre fondateur des Hénokiens.
Photo © Marie Brizard
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En 25 ans d'existence, les Hénokiens ont gagné mais aussi perdu des membres, et notamment, le fondateur Marie Brizard. En 2000, dans une mauvaise passe financière, les descendants de la créatrice bordelaise de l'anisette ont été la cible d'une OPA de la part de Duke Street Capital France, une société de capital investissement, qui a mis la main sur 67,89 % du capital. Dès lors, passée au dessous des 50 % des parts, la famille ne peut plus appartenir au club très select des Hénokiens. D'autres membres ont décidé de partir d'eux même, comme les italiens Antinori (viticulteurs) et Cosulich (armateurs).
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