Pour mesurer la pollution

Les robots calculent avec des capteurs le taux de particules fines rejetées dans l'air. © ARTENS - Fotolia.com

L'époque des aéronefs, montgolfières et autres dirigeables "Jules vernesques" est terminée. Rares sont les scientifiques qui s'envoient encore en l'air pour mesurer la pollution atmosphérique au-dessus des métropoles. Bardés de multiples capteurs, les drones civils se chargent maintenant de cette tâche. Ils peuvent par exemple mesurer le taux de particules fines ou de CO2.

Les machines télécommandées ne sont pas encore utilisées pour les prévisions météorologiques : elles ne volent pas assez haut : pour l'instant, les stations météos utilisent les satellites. Mais cela pourrait changer dans le futur. "La NASA effectue en ce moment des recherches sur un drone stratosphérique, capable de monter à plusieurs dizaines de kilomètres de hauteur", s'exclame Emmanuel de Maistre.

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