Nicorette, Nicopatch ou NiQuiTin : ces substituts nicotiniques "classiques"
bénéficient de la caution de grands laboratoires pharmaceutiques et de la
possibilité de remboursement.
Sous forme de patchs, de chewing-gums ou des pastilles à sucer, ils contiennent
entre 2 mg et 21 mg de nicotine et sont considérés comme des médicaments
à part entière.
D'après Pierre Fabre, fabricant de Nicopatch, le taux de réussite à l'arrêt
du tabac est mulitplié par deux avec un substitut nicotinique.
Le marché français s'élèverait à 100 millions d'euros par an, assez peu
par rapport à nos voisins européens, mais avec une croissance de 10% l'an
dernier.
"Nous nous attendons à un pic des ventes en janvier, admet Maud Bodinier, chargée
de la gamme NiQuiTin chez GlaxoSmithKline dans une interview aux Echos.
Mais dès avril, les ventes vont fortement retomber", reconnait-elle. La motivation
n'est pas éternelle
Prix : de 6 € à 25 €
(en pharmacies et centres spécialisés)
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