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Une zone commerciale près de Sacramento. © DR
Après le résidentiel, l'immobilier commercial pourrait être la prochaine victime
de la crise actuelle. Les dépenses dans l'immobilier non-résidentiel commencent
à diminuer et de nombreux bureaux et magasins en vente pourraient ne pas trouver
preneur.
Si le retournement de conjoncture est moins rapide et moins brutal que dans
l'immobilier résidentiel, les conséquences sur l'économie
pourraient être plus lourdes et plus profondes. Le secteur
représente en effet 3,6% du PIB
américain. Là aussi, les prix devraient chuter : Goldman
Sachs évoque une chute de 26%. Et la crise, loin d'être
temporaire, pourrait durer deux ans.
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