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C'est un document comptable qui, sur une période
donnée, établit toutes les transactions
opérées entre résidents et non
résidents. Les opérations enregistrées
concernent les biens, les services, les transferts,
les prêts ou emprunts, les valeurs boursières, les devises,
etc.
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Elle définit la dette de l'ensemble des administrations
centrales, locales et de sécurité sociale, qui
produisent des services non marchands ou réalisent
des opérations de redistributions du revenu national.
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C'est l'opposé de l'inflation.
On assiste alors à une baisse des prix qui a généralement
des conséquences très néfastes pour l'économie,
comme durant la crise de 1929.
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Mesure prise, généralement par les gouvernements,
consistant à diminuer la valeur de la monnaie
nationale par rapport à un cours officiel. Cette
mesure ne peut être prise que s'il existe une
politique de change, c'est-à-dire si l'on fixe
la parité souhaitée entre la monnaie nationale
et une ou plusieurs autres monnaies.
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Finance
: ensemble des effets escomptés (avancés
contre un intérêt) par une banque qui ne
sont pas arrivés à échéance,
ou des crédits de toute nature dus par une personne.
Par extension, l'encours désigne un montant global
à un moment donné.
Comptabilité : C'est l'ensemble des biens
en cours de production et déjà comptabilisés
dans les stocks.
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Système dans lequel les parités entre
les monnaies ne sont pas fixées et où
celles-ci fluctuent en fonction de l'offre et de la
demande de chaque devise. Les monnaies ne sont alors
pas non plus rattachées à l'or.
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Système dans lequel toutes les monnaies sont
rattachées à l'or par une parité
fixe, on a alors la possibilité d'échanger
en permanence n'importe quelle devise contre de l'or.
Les taux de change entre les monnaies sont donc stables.
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Perte de valeur de la monnaie qui se traduit
par une hausse des prix. On calcule généralement
l'inflation en utilisant un panier de biens représentatifs
de la consommation des ménages. |
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Il existe trois sortes d'instruments de paiement
à proprement parler : la monnaie dite "divisionnaire",
qui correspond aux pièces de monnaie, la monnaie
"fiduciaire", composée des billets de
banques et la monnaie "scripturale" qui regroupe
les comptes mobilisables par chèques et les autres
ordres de paiement ou de virement. |
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C'est l'aptitude d'un actif à être convertible,
dans un bref délai et sans coût, en moyen
de paiement. Les différents actifs se caractérisent ainsi
par une liquidité plus ou moins importante. Un marché
est dit liquide lorsque les offres et les demandes sont
suffisantes pour fixer des cours et échanger des titres.
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La masse monétaire est constituée de
l'ensemble des moyens de paiement utilisables par les
acteurs non financiers d'un pays. Ces moyens sont la
monnaie fiduciaire, le dépôt à vue,
les pensions, les titres. Il existe en France quatre
agrégats monétaires :
- M1, la monnaie fiduciaire et les dépôts à vue;
- M2, les dépôts à terme d'une durée inférieure à deux
ans et les dépôts remboursables avec préavis d'une durée
inférieure ou égale à trois ans;
- M3, pensions, les titres OPCVM
(Organismes de placement collectif en valeurs mobilières)
monétaires et instruments du marché monétaire, les titres
de créance d'une durée initiale inférieure ou égale à deux
ans;
- M4, billets de trésorerie et bons du Trésor.
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Parité
de pouvoir d'achat |
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Utilisation d'un panier de biens dont les prix sont
comparés entre deux pays. Cette une méthode
s'avère plus efficace que le taux de change pour
comparer le niveau de vie entre deux pays puisque les
fluctuations sur le marché des devises ne sont
pas directement prises en compte.
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Politiques
de stérilisation |
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Politiques menées par la banque centrale qui émet des titres (obligations
à long terme, bons du trésors...) et les vend
sur le marché monétaire en échange de sa propre monnaie. Ces
politiques visent avant tout à maîtriser l'inflation.
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Les réserves de changes dont disposent les banques
centrales permettent de combler les déficits
de la balance de paiement vis-à-vis du reste
du monde. Elles peuvent être utilisées
pour défendre le taux de change.
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C'est un indicateur de prix relatif entre pays utilisé
pour des comparaisons internationales. On l'obtient
par la quantité de devises que permet d'obtenir
une unité de la monnaie nationale.
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Taux
d'intérêt à court terme |
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Le taux d'intérêt est le coût du
crédit pour un emprunt ou la rémunération
pour un placement. Il s'exprime en pourcentage pour
une durée de référence, en général
d'un an. Les taux d'intérêt à court terme s'appliquent
habituellement à l'argent prêté pour une durée inférieure
à trois mois, alors que les taux à long
terme s'applique pour une durée supérieure
à dix ans.
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Taux
d'intérêt nominal et réel |
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Le taux d'intérêt nominal ou taux d'intérêt apparent
se calcule en euros courants, sans tenir compte du fait
que l'inflation déprécie mécaniquement la somme prêtée.
Le taux d'intérêt réel est le taux d'intérêt nominal
corrigé de l'inflation. Il se calcule aussi en euros
constants.
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Les banques centrales déterminent ce taux d'intérêt
pour prêter aux banques commerciales qui prêteront
ensuite aux entreprises et aux particuliers, d'où
leur forte influence sur l'économie des pays.
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Taux
d'ouverture financier |
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C'est le rapport entre la somme des exportations et des
importations et deux fois le PIB. Il permet de mesurer
la part des exportations et des importations dans l'économie
d'un pays. |
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