Fumel (47500), Lot-et-Garonne

Moins (plus) de vie, c'est triste Fumel je ne reviendrais plus pourtant j'y suis né, travaillé, passé toute ma jeunesse, l'avenue de l'usine c'est la traversée du désert!

Fumelois pendant 3 ans c'est triste de voir une ville si triste qui perd son âme.....les fumelois et fumeloises sont des gens formidables...... malheureusement certains services manques et font de Fumel une ville terne voir morte........ l'usine a apporté bcp à cette ville qu'il faut redynamiser.

désertification des médecins, si rien n'est fait pour en faire venir, dans 3 ans il n'y en aura plus....

Devenue fuméloise en 2007, j'ai vu la descente de cette ville triste où tout se meurt.
Les usines ferment....
Les emplois disparaissent....
L'immobilier s'effondre....
Les perspectives d'avenir sont tournées vers la "Silver économie", comme si le 3ème âge était l'avenir !!!
Bref...
Petit village enclavé, loin de tout et replié sur sa communauté des communes, qui traverse les temps durs avec encore plus de difficultés que le reste du territoire national.

Re-donnez confiance au dynamisme : Pour y avoir été élévée de la maternelle jusqu'au bep Electronique, pour y avoir été Rapeur, pour y avoir été animateur , pour y avoir été employé, et pour y avoir été chomeur , je trouve que la confiance est un moteur sociale,moteur d'intelligence,un moteur de relationnelle,et un moteur pour le travail. Rassemblons nous devant tant d'oublis des situations d'antan qui nous rappel comment cette ville nous acceuillait tous par milliers construisant travaillant pour une seul ville Fumel . Il faut croire en la consommation des ménages chaque époque et un défi . Il y a bien du bisnesse à monté à Fumel , reste le manque de confiance en soi ou en ns puis la volonté financière qui nous aide à concrétiser et agir . Mais la jeunesse qui arrive à l'air beaucoup plus courageuse et solide donnons lui cette chance d'action que nous avons malheureusement pas eu et arrêtons ce gaspillage . Ce que j'aime à Fumel : Les gens bons ou mauvais. Ils m'ont apporter de la rigueur qui me sert tout les jours dans mon travaille, ma vie de couple, dans la réalisation de mes rêves.J'aime le café de la place de Monsempron Libos,le marché tous les Jeudi avec ces BanaBana sénégalais, les vendeurs de poissons, de pommes, de chaussure et d'habits cette nostalgie en route du collège en vélo sur le chemin 1993 1995 çà me manque. Mr Blanchar Mr Bataille lol Mr Boris Mr Casanova cette nostalgie qu'on a c'est çà fumel le manque qui fait vivre en espoir cette ville . Comme on dit le phénix renait de ces cendres Fumel reviendra comme elle étais la plus belle en fonte et en acier lol. Ce que je n'aime pas à Fumel : Les non dits, l'importance que cette ville à attaché au Rugby et le reste mis au oubliette ,le manque d'effort intellectuelle pour faire existé c'est gens qui ont fait vivre Fumel: le manque de reconnaissance,les combats ratté ou cours circuité,ect..

Retour au pays : A beaucoup perdu de sa prestance ! Ce que j'aime à Fumel : Le calme, la sécurité, zone commerciale. Ce que je n'aime pas à Fumel : Pas de fleurs: évoque une grande tristesse, pourtant possibilité de fleurir et d'entretenir de beaux endroits :ex : les ponts, l'Avenue, que faire pour motiver les Fumélois ?

Peu mieux faire : Peux mieux faire pour développer le Fumélois, très gros problème au niveau de l'emploi. Ce que j'aime à Fumel : Une certaine culture. Ce que je n'aime pas à Fumel : Ville triste.

Vivre à fumel : Pour y avoir sejourné 15 ans, je me suis toujours plus à fumel. Ce que j'aime à Fumel : La bonhomie de la populace. Ce que je n'aime pas à Fumel : Le manque de niaque de ses habitants qui pour la plupart viennent d'horizons différents, du à la navigation fluviale et de la grosse industrie fonderie qui y avait malheureusement disparu. De nos jour se cotoient beaucoup de nationalités differentes venant des pays de l'Est et de l'Italie.

Fumel, ville fantôme : Fut une ville dynamique à l'époque de la fonderie. Ce que j'aime à Fumel : Le temps. Ce que je n'aime pas à Fumel : La déchéance qui s'installe, malgré les maires qui se succèdent. Pas un ne semble donner le coup de pouce pour faire venir ou faire rester les entreprises génératrices d'emploi et de stabilité de la population. Bientôt, ce sera une ville de "vieux" qui auront du mal à rester car il n'y a plus rien à Fumel. Reste des grandes surfaces qui s'installent sur la commune voisine... mais il n'y a pas que les achats dans la vie. Où sont l'emploi, la sécurité de la personne, la joie de vivre, être bien dans sa ville, dans son quartier ? Qui saura redonner du punch à la région ?

Avis d'un Fumélois : Fumel périclite de plus en plus, dans tous les domaines. En 1973, Fumel était prospère avec la grande usine Pont à Mousson, qui faisait "vivre"aussi le département, avec ses 2 à 3000 ouvriers. Depuis la départ de cette grande entreprise, les emplois ont considérablement diminué, pourtant le savoir-faire dans la fonderie des pièces minces pour l'automobile est là. Mais très mal exploité, dommage. Il n'y a pas eu d'autres créations d'emploi depuis et Fumel devient un bassin qui végète, isolé au bout du département. Ce que j'aime à Fumel : La région est belle, le mode de vie est paisible (pour un retraité), en campagne sans trop de pollution. Le commerce qui paradoxalement s'est bien développé. L'enseignement est très complet, avec les lycées généraux et professionnels et les collèges. Ce que je n'aime pas à Fumel : Le vieillissement de la population, l'isolement, nous sommes à 50-60 km des autoroutes. Le centre ville qui se dépeuple de plus en plus.