La Salvetat-Saint-Gilles (31880), Haute-Garonne

J'ai vécu 13 ans dans cette commune et en suis partie l'année dernière, Cette commune manque cruellement transport si on n'a pas de voiture on est bloqué, les seuls transports existant déversent la mairie et ne permettent même pas de se rendre à une station de métro pour rejoindre Toulouse et on des horaires très restreint, une voiture est nécessaire et cela accru les bouchons pour se rendre dans Toulouse ou à Colomiers. C'est une ville dortoir ou très peu d'activité sont proposé. Une part de la ville les hauts de Saint Gilles semble privilégiés par la mairie, au détriment du reste de la commune. Un beau château qui n'est malheureusement pas rénové. Une belle place de la mairie, et de très beau rond point un peu partout qui on permis de fluidifier la circulation et la rendre moins dangereuse. En bref ville dortoir par excellence qui à le privilégie d'allier les désagréments de la campagne et ceux de la ville. Après bonne école, bon collège et des magasins de proximités sympathique.

Peut mieux faire, : Cite dortoir par excellence, pas d'evolution notable depuis 42ans que j'y habite. Ce que j'aime à la Salvetat-Saint-Gilles : Climat familial proximité de toulouse, petits commerçants sympas ; les initiatives de la police municipale qu'il faut signaler et feliciter pour leur competence. Et oui cela arrive. Ce que je n'aime pas à la Salvetat-Saint-Gilles : L'envahissement par le béton, le roulage sans cesse plus important, le manque de structures conviviales, les querelles entre les dirigeants de la mairie et les habitants. L'immobilisme de la municipalité.

Ville dortoir : Depuis 7 ans sur la commune. Ce que j'aime à la Salvetat-Saint-Gilles : Les petits commerces et la bibliothèque pour leurs relations humaines. Cela existe encore heureusement. Ce que je n'aime pas à la Salvetat-Saint-Gilles : Ca manque de vie et c'est un village impersonnel, c'est dommage.

Moyen, il y a mieux dans le secteur : La Salvetat est un lieu qui se cherche entre autochtone et nouveaux résidents. L'accueil n'y est pas chaleureux. Le cadre n'est pas désagréable. La commune ne dialogue pas avec ses concitoyens et les citoyens ne peuvent pas dialoguer avec la commune. C'est un monde trop clos. Ce que j'aime à la Salvetat-Saint-Gilles : Les quelques espaces verts qui nous restent. Mais cela est compté... Ce que je n'aime pas à la Salvetat-Saint-Gilles : L'urbanisation galopante, mal corrélée avec les infrastructures routières. La quasi absence d'une vraie bibliothèque et l'absence de médiathèque. L'absence de dialogue et de concertation entre habitants et mairie.

Une ville en expansion non ordonnée : Une mauvaise situation routière, et mauvais bilan de l'urbanisme, ce qui implique que rien n'est fait pour le piéton et sa sécurité, cette ville à mal été gérée depuis plusieurs décennies pour l'urbanisme et continue dans ce sens. Ce que j'aime à la Salvetat-Saint-Gilles : L'activité de ses associations.

Le bon choix : Une petite commune proche des activités industrielles mais qui n'en subit pas les inconvénients du fait de sa faible densité. Ce que j'aime à la Salvetat-Saint-Gilles : La surface des terrains disponibles, la prix de l'immobilier relativement plus bas qu'aux alentours, mais l'accessibilité à tous les éléments urbains : cinéma et bibliothèque (grâce surtout aux communes adjacentes), centre commerciaux (presque trop), la fluidité du trafic automobile. Ce que je n'aime pas à la Salvetat-Saint-Gilles : Les perspectives : un centre commercial disproportionné qui ouvrira d'ici 2 ans, qui va dégrader radicalement la fluidité du trafic automobile et attirer des milliers de personnes qui ne vont faire que transiter.

Des efforts à faire : Beaucoup est à faire. Ce que j'aime à la Salvetat-Saint-Gilles : La proximité de Toulouse. Ce que je n'aime pas à la Salvetat-Saint-Gilles : La mauvaise desserte en transport.

Ce que j'aime à la Salvetat-Saint-Gilles : Un gros effort de dynamisation et d'embellissement. Ce que je n'aime pas à la Salvetat-Saint-Gilles : La multiplicité de petites zones commerciales, le manque de rénovation du château.