On a identifié des gènes du comportement chez de nombreux animaux, ce n'est pas encore le cas chez l'homme.
On pense qu'il existe des facteurs génétiques prédisposant à l'alcoolisme mais on ne les a pas trouvés chez l'humain. Il s'agirait d'une série de gènes qui semblent contrôler des protéines qui "insensibilisent"» les récepteurs des neurones.
Cette insenbilisation d'un récepteur obligerait l'usager à consommer des quantités toujours plus importantes de drogue pour parvenir à la satisfaction. On estime qu'entre 40 et 60 % des causes de dépendance, qu'il s'agisse d'alcool, d'opiacés ou de cocaïne, sont génétiques.
En revanche, malgré de nombreuses recherches, on n'a jamais mis en évidence de gènes de l'intelligence.
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