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bref international |
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7% des PC infectés par les Klez - Résultats très contrastés pour Microstrategy... - ...comme pour ATG - Adobe et Macromedia se disputent des brevets - Microsoft se défend d'introduire des incompatibilités dans Windows. (Jeudi
2 mai 2002) |
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Epidémie.
Dixit l'éditeur d'anti-virus Panda Software, 7%
des PC dans le monde seraient infectés par l'une
des variantes du ver Klez. Panda, qui appuie son estimation
sur un échantillon de 2000 PC, juge que les performances
des Klez dépasseraient celles des Sircam et autres
Nimda.. Les variantes en cause sont notamment les "H"
et "I". Rappelons que Klez ne se "contente"
pas de se propager et de polluer les messageries; il en
profite aussi pour expédier à travers le
réseau certains fichiers dénichés
sur les machines infectées.
Résultats. A l'issue du trimestre clos le
31 mars, MicroStrategy, éditeur de logiciels décisionnels,
affiche un bénéfice net de 428 000 dollars
pour un chiffre d'affaires de 35,7 millions de dollars.
Des résultats contrastés: certes, à
la même époque l'année dernière,
les pertes avoisinaient les 22,7 millions de dollars mais
les revenus, eux atteignaient 49,4 millions...
Résultats (bis).
Résultats très contrastés aussi pour
ATG, éditeur de la plate-forme e-business Dynamo.
L'éditeur présente une perte trimestrielle
de 2,8 millions de dollars (contre 12,9 millions un an
auparavant) mais aussi un revenu de 27,3 millions, contre
43,3 millions il y a un an.
Brevets. Adobe et Macromedia
s'accusent mutuellement de violation de brevets. Le premier
reproche au second "d'emprunter" certains de
ses brevets autour des menus flottants. Et le second accuse
le premier d'exploiter certains de ses procédés
relatifs à la conception et à la représentation
des arborescences de sites Web.
Témoins. Les vice-présidents de Microsoft
continuent de défiler à la barre des témoins
à l'occasion du nouveau round du procès
anti-trust. Neuf Etats américains refusent en effet
l'accord négocié entre l'éditeur,
le gouvernement et une partie des Etats plaignants. Les
intéressés demandent à Microsoft
de rendre public certaines de ses interfaces ou encore
de permettre une installation modulaire de Windows. Le
dernier représentant de Microsoft passé
à la barre a tenté de délégimiter
ses sanctions éventuelles en expliquant que la
firme n'avait jamais cherché à rendre son
système incompatible avec d'autres.
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