Services.
Editeur de solutions de gestion des connaissances,
Verity lance un service visant à optimiser les plates-formes
d'archivage. Baptisé Verity Data Discovery Program, il
propose l'analyse des fonds documentaires du système
d'information. Une opération qui a pour but d'offrir aux
clients une meilleure vision de son capital documentaire.
Ce qui leur permettra d'éliminer "toute information
obsolète ou apparaissant en doublon dans son système",
souligne la société le fournisseur.
Infrastructure.
Le constructeur Hitachi Data System vient de signer
une alliance avec Ixos : un éditeur de solutions de
gestion du cycle de vie des contenus. Selon les termes
de cet accord, le premier entend combiner son environnement
de stockage avec les applications du second (autour
de l'archivage d'e-mail pour commencer, etc.). Des technologies
qui devraient lui permettre de s'étendre à la prise
en compte des données non-structurées.
Chantiers. Le MIT
(Massachusetts Institute of Technology) expérimente
un bus de Web Services. Lancé en 1999 en lien avec Microsoft,
le programme en question (baptisé iCampus) vise à améliorer
le système d'information de l'institut. Plus précisément,
il a pour vocation d'étendre les dispositifs d'e-learning
de l'université, naguère cantonnés au champ de la microélectronique,
en les rendant accessibles à l'ensemble des départements.
Chantiers. Au fil
des mois, l'Armée américaine abandonne Windows pour
Linux. Ce projet de migration vient d'entrer dans une
nouvelle phase avec l'extension de cette technologie
à l'Armée de terre. Cette décision fait suite à
un premier chantier de déploiement sur le terrain
de l'informatique mobile. "A l'évidence, Linux
est plus stable. Cela explique nos choix en faveur de
ce système d'exploitation", indique un porte-parole
de l'US Army (dixit The Register).
Acteurs. Selon
l'Américain SCO, IBM n'aurait pas le droit d'exploiter
la licence GPL (GNU General Public License). C'est ce
qu'a indiqué en début de semaine l'éditeur à l'occasion
de son procès l'opposant à Big Blue. Pour soutenir son
argument, la société indique que cette licence viole
la constitution américaine, sur le terrain du droit
d'auteur et de la régulation antitrust notamment.
|