Plus
ou moins d'externalisation ? Réponse incertaine
Entre l'accentuation de recours aux prestataires et l'attitude qui consiste à stopper net cette pratique, voire à ne jamais l'adopter, nos lecteurs-sondés sont partagés. (Vendredi
7 novembre 2003)
Externaliser...
Dans une période marquée
par le crédo de la réduction des coûts,
l'externalisation, malgré les difficultés
qu'elle peut poser parfois, a souvent été
un choix naturel. Cela se vérifie aujourd'hui auprès
d'une bonne partie de nos lecteurs-sondés qui,
pour près d'une moitié d'entre eux, déclarent
accentuer encore leur recours aux services de ce type.
A l'inverse, un bon
quart du total des répondants estime qu'il est
temps de s'arrêter, et peut-être de reprendre
en main ce qui a été délégué
à des prestataires. Si l'on ajoute à cette
proportion la
part
de nos
lecteurs-sondés qui clament leur méfiance
(pour ne pas dire plus) vis
à vis de l'externalisation, on aboutit finalement
à une situation ou aucune tendance (entre plus
ou moins d'externalisation) ne domine vraiment. Signe
de la reprise ou attitude structurelle ? La question reste
entière.