Editeur/
solution
|
Points
forts
|
Points
faibles
|
BEA
Weblogic
Integration 8.1 |
Le gain de productivité apporté par l'assemblage
des contrôles
L'unification des outils de développement
L'administration au sein d'une seule console
|
Absence d'outil de modélisation de processus
abstraits (donc réellement fonctionnels)
L'unification de la plate-forme impose de
travailler avec l'offre globale de l'éditeur
|
BlueWay
Net.EAI |
L'accessibilité du Designer
La dissociation entre la logique des interfaces
et la couche d'implémentation
Une solution totalement adossée à un référentiel
exhaustif
L'attention prêtée au contrôle qualité des
données
|
Le Business Process
Management s'apparente plus à du Technical Process
Management
La
plate-forme n'est pas vraiment conçue pour un
traitement distribué des processus
Un produit limité pour l'heure à l'environnement
Windows (une version Java du moteur d'exécution
est prévue pour septembre)
|
IBM
WebSphere
Business Integration |
Un modeleur de processus réellement accessible
à des fonctionnels
Des adaptateurs indépendants du moteur d'intégration
Des packages verticaux (les collaborations)
riches
|
Le BPM pour l'heure
hors de portée d'une approche bottom-up dans le
cas où l'on exploite WebSphere MQ Integrator Broker
Un
packaging de l'offre (et donc une lisibilité de
la solution) qui gagnerait à être simplifié )
|
Microsoft
Biztalk
Server |
La
vitesse de maturation de la plate-forme
L'accessibilité
générale de la solution
L'intégration
aux outils de déploiement et d'exploitation maison
L'ergonomie
du Mapper.
|
Des outils qui
gagneraient à être mieux intégrés
pour offrir une vue globale de l'orchestration
Pas assez d'introspection
mutuelle automatique entre les outils
Rien pour la supervision
des processus
|
Editeur/
solution
|
Points
forts
|
Points
faibles
|
Seebeyond
Seebeyond
5 |
L'adossement aux standards (J2EE, Web Services)
La possibilité d'utiliser un serveur d'applications
du marché
La possibilité d'étendre les processus jusqu'au
portail d'entreprise
Les nouveaux outils (BAM, ETL
)
|
Comme toujours
lors d'un tel saut d'architecture, la reprise
de l'existant est une grande source d'incertitudes,
notamment en ce qui concerne les impacts sur les
performances.
|
Sunopsis
Sunopsis |
L'absence de couche de traitement intermédiaire
Une architecture complètement Java
L'exploitation des standards (JDBC, JMS
)
La couverture de l'existant via les modules
de connaissance (SGBDR, ERP, MOM
)
La puissance (rapport ergonomie/richesse)
de Sunopsis Designer
|
Manque encore
une vue orientée processus de ces intégrations
par les données
Absence
d'un composant de workflow (pour la gestion des
interactions humaines)
Assez
logiquement, l'administration et la supervision
demeurent elles aussi techniques
Demande
au cas par cas de bien évaluer les impacts de
performances pour les applications sur lesquelles
les espaces de travail sont créés
|
Vitria
Vitria
Businessware 4 |
La cohérence de la vue projet durant tout
le cycle de gestion du projet
La possibilité d'invoquer un traitement via
un jeu de proxy (EJB, RMI, Web Services)
Les outils d'analyse
|
La nécessité d'en
passer par un annuaire Ldap ne sera pas forcément
bien perçue par tous
La
plate-forme s'appuie sur plusieurs standards mais
ne permet pas le remplacement d'un composants
de la solution par celui d'un éditeur tiers déjà
présent dans l'entreprise - à l'exception
de la couche transport
|
webMethods
webMethods |
Une
architecture distribuée qui devrait apporter de
meilleures performances
L'assimilation
par la plate-forme des standards (J2EE, Web Services)
Le
niveau d'intégration des outils
L'aptitude
à s'intégrer à des frameworks d'administration
via le standard OMI
|
Compatibilité
réduite pour l'existant sous Enterprise Server
Des outils de
migration qui s'annoncent limités
|
Editeur/
solution
|
Points
forts
|
Points
faibles
|