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La France abandonne deux places au Top 10 des supercalculateurs
Le classement sacre une nouvelle fois IBM et les Etats-Unis, principal consommateur de supercalculateurs. Les performances du Top 10 s'échelonnent désormais de 280,6 à 43,48 teraflops, contre 35,8 en juin.  (15/11/2006)
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 Reportage : Tera 10, le supercalculateur du CEA
 Classement de juin 2006
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Top500
Sans grande surprise, IBM et plus globalement les Etats-Unis caracolent toujours en tête des plus puissants supercalculateurs au monde. Le peloton de tête connaît toutefois quelques remaniements, avec notamment l'entrée de l'Université polytechnique de Barcelone dans le Top 10.

La plus haute marche revient toujours au Département de l'énergie atomique américain avec 280,6 téraflops. Une position dans le classement et une puissance de calcul stables depuis déjà novembre 2005. Son second supercalculateur abandonne toutefois sa troisième place pour la quatrième, au profit du centre de recherche Thomas J. Watson avec 91,2 teraflops.

Ce dernier, second en juin, doit s'incliner devant les 101,4 teraflops du Sandia National Laboratories et son supercalculateur Cray Red Storm, qui conteste ainsi la domination de Big Blue. IBM peut toutefois se consoler en équipant 4 des 5 premiers acteurs du classement, dont le nouvel entrant du Top 10, l'Université polytechnique de Barcelone et ses 62,63 teraflops.

L'Espagne signe donc son retour, après une disparition en juin dernier. En revanche l'Allemagne quitte le Top 10. Le Forschungszentrum Juelich recule en effet de la huitième à la treizième place. Quant au Commissariat à l'énergie atomique français équipé par Bull, cinquième lors du précédent classement, il cède deux places. La puissance de son supercalculateur grimpe cependant de 42,9 à 52,84 teraflops.

L'Ecole polytechnique fédérale (EPFL) de Lausanne et son eServer Blue Gene Solution d'IBM figure dans la liste des chutes les plus marquantes en s'écroulant de six rangs, à la 22e place (18,2 teraflops).

Les dix supercalculateurs les plus puissants au monde
Rang
Propriétaire
Puissance de calcul (en Tflops)
1
Department of Energy (USA)
280,6
2
Sandia National Laboratories (USA)
101,4
3
Thomas Watson Research Center (USA)
91,2
4
Department of Energy (USA)
75,76
5
Université polytechnique de Barcelone (Espagne)
62,63
6
Sandia National Laboratories (USA)
53
7
Commissariat à l'énergie atomique (France)
52.84
8
NASA/Ames Research Center (USA)
51,87
9
Tokyo Institute of Technology (Japon)
47,38
10
Oak Ridge National Laboratory (USA)
43.48
Source top500.org, novembre 2006

Sur l'ensemble du classement, IBM tient toujours le haut du pavé, avec 237 supercalculateurs sur les 500. Son dauphin, HP en classe quant à lui 157. Le premier n'apparaîssant toutefois qu'au 40e rang. Dell, plus discret avec 18 supercalculateurs PowerEdge, rafle les 6e, 11e et 12e places.

Quant à la répartition géographique, la domination des Etats-Unis reste incontestable avec 308 des 500 supercalculateurs mondiaux. Viennent ensuite le Royaume-Uni (30), le Japon (30), l'Allemagne (19) et la Chine (18). La France fait bonne figure avec un total de 12 machines.
 
 
Christophe AUFFRAY, JDN Solutions Sommaire Acteurs
 
 
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