Dans un contexte mondial où les entreprises étrangères - celles situées aux Etats-Unis ou dans le nord de l'Europe - investissent davantage dans l'informatique qu'elles, les sociétés françaises (surtout les PME) risquent de passer à côté des bénéfices du Web 2.0.

Ces apports se manifestent par le biais du grand public (tirer profit de l'innovation des clients) et par l'intermédiaire de nouvelles formes de collaboration et d'usages au sein même des entreprises.

Qui plus est, ce sous-investissement est préjudiciable à l'économie française dans son ensemble. "Nous avons entre 1,5 et 2,5 points de croissance en moins sur 5 ans par rapport à ce qui pourrait être l'optimum", analyse Grégoire Postel-Vinay (Minefi). "10% d'investissement en plus, en gros, c'est 0,3% de croissance en plus, complète Claude Salzman (consultant indépendant), soulignant la perte de l'équivalent d'une année de croissance en raison du sous-investissement informatique des entreprises françaises.



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