Cloud public : les pièges à éviter Faire attention aux taux de disponibilité annoncés...et constatés

Les incidents liés au manque de disponibilité d'applications fournies en mode SaaS ou de services de Cloud Computing public se sont multipliés sur les derniers mois. Dernières victimes en date Microsoft avec sa suite bureautique Office 365, mais également Google et Amazon en avril dernier. La performance du cloud est mise en cause.

Pour se prémunir de telles mésaventures, on pourra essayer dans la phase de contractualisation d'intégrer un avenant mentionnant noir sur blanc les indemnités et/ou réparations logicielles/matérielles prévues en cas de défaillance.

Après Amazon et Google, HP et IBM entrent dans la danse du Cloud public

Bien sûr, ce type de précaution est beaucoup plus simple à obtenir dans le cas du recours à un service de type Cloud privé. Si aucune discussion n'est possible ou si le cas ne se présente pas dans les conditions générales de fourniture du service, pourquoi ne pas faire jouer la concurrence ?

Amazon, Microsoft, Salesforce.com mais aussi prochainement HP ou encore IBM : les services de Cloud public vont se multiplier dans les mois - voire semaines - à venir et avec eux les possibilités d'obtenir des contrats plus adaptés à ses besoins. Si on ne trouve pas son bonheur avec les offres actuelles, les prochaines pourraient s'avérer plus efficaces voire inciter les offreurs historiques à plus de souplesse...commerciale.