| J2EE/.Net:
le point sur les services d'intégration proposés Par le JDNet Solutions (Benchmark Group) URL : http://www.journaldunet.com/solutions/0209/020909_j2ee_net.shtml Lundi 9 septembre 2002 Microsoft), figure l'intégration d'applications... que ce soit sur un périmètre interne ou en environnement B to B. Rappelons que cette problématique recouvre un double objectifs : la gestion des interactions et des échanges de données entre composants d'une part, et leur orchestration au sein de processus applicatifs et/ou métier d'autre part. Concrètement, ces processus permettent (par exemple) d'administrer le cycle de vie d'un achat - depuis la commande en passant par le contrôle des stocks et la facturation. En général, une solution d'intégration remplit ces différents rôles par le biais de trois briques : 
Un broker, appelé également MOM (pour middleware
orienté messages), qui se charge de transporter les messages ou informations
échangées entre applications.
Un serveur d'intégration qui gère l'orchestration de l'invocation
des applications (requêtes), mais également le routage
et le traitement métier des messages (réponses). Il
peut dans certains cas prendre en compte des interventions humaines
par le biais de workflow.
Des connecteurs qui exécutent les requêtes vers
les applications impliquées dans l'architecture. Un produit en face d'une spécification Issu d'un chantier plus ancien (puisque sa première version date de 1999), J2EE se contente de traiter les tâches de transport et de connexion (voir aussi le tableau ci-dessous). Pourquoi la couche de routage est-elle absente de cette spécification ? Une telle limitation s'explique par la philosophie du projet de Sun qui, rappelons le, a pour but de définir un standard... et non un produit fini. Placé au coeur d'une architecture d'intégration, la standardisation de ce service est nettement moins critique qu'un MOM ou qu'un connecteur : des ponts applicatifs dont la standardisation facilite bien des choses en phase de déploiement. Au final, J2EE paraît cependant nettement moins avancé sur le terrain des Web Services que la technologie Biztalk. Alors que la plate-forme de Sun intègre XML sans pour autant prendre en compte des langages comme SOAP et WSDL, le serveur de Microsoft s'étend d'ores et déjà à la gestion de cette catégorie d'interfaces, ainsi qu'à leur orchestration au sein de processus complexes (en se basant sur XLang notamment).
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