Seuls 25,54% des répondants croient à une fin possible du spam. Reste toutefois
à déterminer à quelle échéance. Pour parvenir, sinon à le faire disparaitre, au
moins à le faire reculer, plusieurs solutions sont pour eux envisageables. D'abord
grâce à une plus grande implication des fournisseurs d'accès (23,03%).
Ils attendent également, juste ensuite, une technologie antispam plus efficace
(22,26%) et des peines plus sévères contre les spammeurs. Hormis au travers d'un
durcissement des sanctions, ils ne sont que 11,32% à attendre une intervention
de l'Etat. La réglementation et le contrôle d'Internet par l'Etat est donc peu
plébiscité.