Les bases de données : une briques stratégiques pour les cybergendarmes

La cellule anti-cybercriminalité met à la disposition des brigades de gendarmerie un intranet (Cyber-Aide) avec les informations nécessaires pour gérer une plainte, suite à un phishing par exemple (envoi d'une réquisition à un site d'ecommerce, à une banque pour récupérer l'adresse IP des personnes ayant commis les transactions...). © Antoine Crochet-Damais

Les bases de données figurent parmi les briques centrales du dispositif de lutte contre la cybercriminalité. Aux côtés d'une base de 1 millions d'images pornographiques saisies, la gendarmerie référence sur son système central l'ensemble des affaires dont elle a la charge à un instant T (plus de 10 millions). C'est la fameuse base de données Judex.

Au côté des services de Rosny, 200 gendarmes de terrain ont été spécialement formés pour intervenir sur des dossiers de cybercriminalité, notamment dans des affaires touchant à l'informatique et la téléphonnie mobile.

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