Pourquoi tout pourrait mal tourner pour Uber, l'entreprise la plus controversée du monde Uber a besoin de ses chauffeurs, mais les chauffeurs n'ont pas besoin d'Uber

Le fonctionnement d'Uber dépend profondément des chauffeurs indépendants qui travaillent pour l'entreprise. En groupes organisés, les chauffeurs ont protesté contre l'entreprise partout aux Etats-Unis. Ils sont mécontents de la politique de tarification concurrentielle menée par le groupe qui pénalise les revenus des chauffeurs. Certains affirment qu'ils touchent à peine le salaire minimum. Ils ne comprennent pas pourquoi la politique d'Uber n'inclut pas de disposition leur permettant d'accepter les pourboires des clients. Ils sont terrifiés par le système de notation à cinq étoiles, et affirment qu'une seule mauvaise note peut suffire à les exclure de la liste et à les empêcher de conduire de nouveau pour l'entreprise.

Les chauffeurs souhaiteraient qu'Uber accepte qu'ils reçoivent des pourboires

Les chauffeurs d'Uber ne sont pas fixes. Ils ne sont pas obligés de travailler pour l'entreprise ; ils peuvent arrêter et reprendre quand ils veulent. Ils savent qu'ils ont plusieurs alternatives dans ce domaine : Lyft, Gett ou Sidecar. Certains de ces chauffeurs pourraient complètement sortir du système. S'ils décidaient soudainement d'arrêter de conduire pour Uber, l'entreprise en prendrait un coup.