Confidentiel : L'application de curation HotAlert se lance, forte d'une levée de 500 000 euros
Après trois mois de béta auprès de 100 testeurs, l'application HotAlert vient de voir le jour sous iOS et Android. Ses cofondateurs, Olivier David, ex Country Manager de RetailMeNot France, François Larvor, ex CTO de RetailMeNot Francer, et Stéphane Taupin, spécialisé dans les applications mobiles, ont injecté 500 000 euros dans la start-up pour en financer le lancement.
Actu, sports, sorties, films... Filtrés selon la localisation et les centres d'intérêts
HotAlert agrège et filtre les informations selon les attentes de ses utilisateurs : l'application prend en compte la zone géographique choisie pour pousser des informations locales ainsi que des alertes pratiques (pic de pollution, par exemple). L'utilisateur peut aussi définir précisément quelles informations l'intéressent concernant le cinéma (les sorties de comédies, par exemple), le sport (son sport, sa ligue, son équipe favorite), les transports... HotAlert revêt par ailleurs une dimension sociale : chacun peut suivre ses amis et voir les contenus qu'ils souhaitent partager. Des recommandations de thèmes similaires permettent aussi d'étoffer ses centres d'intérêt.
L'API ouverte à la fin du mois
Depuis 8 mois, l'équipe de sept collaborateurs travaille sur les versions iOS et Android de l'application. "Les semaines de test ont montré une utilisation forte et un taux de rétention élevé", se félicite Olivier David, cofondateur et responsable produit. La version anglaise devrait sortir à la rentrée, avant que d'autres langues ne suivent.
Dans quelques semaines, l'API publique de HotAlert s'ouvrira à tous les développeurs et entreprises. "Nous invitons tous ceux qui disposent d'un contenu à nous contacter pour avancer ensemble sur ce projet", appelle Stéphane Taupin, cofondateur et responsable des partenariats.
Basé à Vannes, HotAlert se monétisera grâce à la vente évènementielle sur l'application. "Quand l'utilisateur reçoit une alerte pour un concert dans sa zone géographie, s'il réserve directement alors nous prélevons une commission grâce à un partenariat avec le vendeur de tickets", explique Olivier David.