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Fin des tickets de caisse : comment Gexell aide les entreprises

Fin des tickets de caisse : comment Gexell aide les entreprises Initialement prévue à partir du 1er janvier 2023, puis repoussée au 1er avril 2023, la fin de l'impression automatique des tickets de caisse n'interviendra qu'en août ou en septembre prochain.

Une mesure obligeant les commerces à mettre en place des solutions dématérialisées

Restaurants, boutiques, banques, cinémas : chaque commerce utilise, chaque année, des centaines de bobines papier thermiques pour imprimer les tickets de caisse ou de carte bancaire. Souvent jetés directement après l'achat ou roulés en boule dans une poche, ces petits bouts de papier contribuent à la production de déchets. Ils contiennent par ailleurs des encres toxiques pour la santé. L'interdiction de leur impression automatique est le 49e des 130 articles de la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire, ou AGEC, votée en 2020.

Toutes les entreprises seront en outre progressivement soumises à la généralisation de la facturation électronique ou e-invoicing à partir du 1er juillet 2024. Ces deux changements majeurs et symboliques représentent un réel enjeu pour la transition écologique et le climat. Mais c'est aussi une véritable révolution pour la gestion des entreprises et leurs relations-interentreprises, à laquelle les TPE, les PME et les ETI doivent se préparer. La transition numérique implique d'opter pour des solutions digitales et un accompagnement sur mesure.

Dématérialisation du ticket de caisse : une opération complexe pour les commerces

Les lois AGEC et " Climat et Résilience " visent à lutter contre le dérèglement climatique en France. Réduire le gaspillage des ressources et éviter le contact avec le bisphénol (substance dangereuse pour la santé) : l'impact d'une interdiction d'imprimer les tickets de caisse et de carte bancaire est évidemment positif. Mais la dématérialisation du ticket de caisse peut s'avérer complexe pour les commerces. Des alternatives numériques, il en existe déjà plusieurs en France. Par SMS, par e-mail, par message dans son application bancaire ou via un QR code depuis une page web, le consommateur dispose d'un éventail de solutions faciles pour recevoir son e-ticket.

Pour autant, du côté des entreprises, les questions sont nombreuses : quelle solution numérique choisir ? Comment la mettre en œuvre ? Avec quelles limites et quelles obligations ? Pour les aider, les intégrateurs de solutions de gestion, comme Gexell, sont spécialisés dans l'accompagnement du choix et de l'installation d'un logiciel de gestion. L'entreprise propose, par exemple, un logiciel de caisse entièrement personnalisable, certifié et répondant aux exigences de sécurisation des données conservées. Il est optimum dans la gestion de la fidélité client et/ou l'envoi d'e-mailing, deux solutions adaptées à l'envoi d'un e-ticket par un support dématérialisé. Il offre aussi de précieux avantages à l'entreprise : une meilleure connaissance des clients et un renforcement de leur fidélisation.

Jusqu'en 2026 pour une dématérialisation obligatoire des factures 

Mais avec une transition numérique en marche depuis les années 2010, la dématérialisation ne se limite pas au ticket de caisse. Depuis le 1er janvier 2021, les entreprises sont aussi tenues de transmettre leurs factures destinées au secteur public par voie électronique, via Chorus Pro. À partir du 1er juillet 2024, les sociétés établies en France et assujetties à la TVA devront accepter les factures électroniques. Elles auront ensuite jusqu'en 2026 pour se préparer progressivement, selon leur taille, à émettre et transmettre au Portail Public de Facturation, des factures dématérialisées. Toutes les transactions, opérations d'achats comme de ventes B2B, ou " business to business " sont concernées par l'e-invoicing.

Mais si les grandes entreprises ont déjà anticipé et engagé des moyens internes et financiers pour leur transformation digitale, les TPE, PME et ETI n'en sont pas toutes au même stade. Ce changement majeur représente pour elles une contrainte certaine, mais aussi une source d'importants bénéfices : réduction des coûts de traitement administratif, mise en conformité avec la réglementation fiscale, nouvelles opportunités en matière de gestion de trésorerie… Pour opérer ce bouleversement, les entreprises ont besoin d'être accompagnées par un intégrateur de solutions de gestion, tel que Gexell. Le revendeur Sage, présent en Île-de-France et dans la région Aix-Marseille, garantit une présence et un soutien continu pour :

  • Réaliser un état des lieux dans un premier temps ;
  • Envisager, personnaliser et installer un logiciel de facture dématérialisée, comme Sage e-Facture ;
  • Former l'entreprise à la prise en main de la solution de gestion.

Dématérialisation des factures : le rôle clé des ERP et des PDP

À l'e-invoicing s'ajoute l'e-reporting, ou la transmission de données de facturation à l'administration fiscale. Pour la réaliser, les entreprises auront le libre choix entre 2 solutions :

  • Un e-reporting direct sur le Portail Public de Facturation (PPF) ;
  • Un e-reporting indirect via une ou plusieurs plateformes de dématérialisation partenaires (PDP) chargées de la transmission vers le portail public de facturation. Ce deuxième type d'organisation, nommée " modèle en Y ", est privilégié par les pouvoirs publics.

Les PDP ont donc un rôle multiple : elles permettent de convertir les documents en factures électroniques, de les contrôler et de les valider, de les envoyer aux destinataires en vue de leur règlement et de les transmettre au PPF. Certains ERP, enterprise resource planning ou progiciel de gestion intégré, comme Sage 100, sont conçus pour faciliter tous ces processus dématérialisés. Ce logiciel, flexible et conforme aux dernières évolutions légales, offre la possibilité d'une gestion de l'entreprise de A à Z.

Gexell propose également des solutions RH comme Sage Espace Employés ou Sage Business Cloud Paie, pour une personnalisation complète des besoins numériques des entreprises.