Huit idées de start-up e-commerce à cloner Ne payer que ce qu'on garde : Smithfield Case et True & Co
Smithfield Case a constaté qu'alors que le marché britannique du prêt-à-porter masculin s'élevait en 2011 à 13,2 milliards de livres sterling (16,5 milliards d'euros), seuls 28% des hommes achetaient en ligne de l'habillement et des chaussures contre 49% des femmes. D'où l'idée de mettre en place un service personnalisé plus adapté à cette cible paresseuse. L'internaute crée un profil en indiquant ses tailles, son style et ses marques préférées. Un styliste personnel assemble alors une sélection d'articles et l'expédie dans une valise. Le membre essaie ce qui lui plaît et paie - seulement à ce moment-là - ce qu'il désire conserver. Smithfield Case passera récupérer les autres articles à un créneau pré-établi, le tout gratuitement et sans facturer un abonnement au service. Lancé en février 2012, l'e-marchand britannique a bouclé en mai un tour d'amorçage de 650 000 livres sterling (815 000 euros).