Le baromètre du programmatique au 2nd trimestre 2018

Le baromètre du programmatique au 2nd trimestre 2018 Coupe du Monde et soldes obligent, les CPM sont repartis à la hausse sur le display et la vidéo au 2nd trimestre selon le baromètre du programmatique AdtechNews - Zebestof pour le marché français.

Le baromètre du programmatique évolue. "Cette première édition du baromètre Zebestof/partner est lancée avec Ligatus afin d'enrichir de façon précise les métriques du programmatique et ses évolutions, explique Antoine Saglier, patron de la plateforme d'achat programmatique Zebestof, filiale du groupe Figaro-CCM Benchmark. Smart se place désormais en tête des principaux SSP. La décision prise par Google de ne plus relayer les bid requests qui ne sont pas assorties d'un consentement depuis le 25 mai est sans doute la raison de ce chamboulement.

Le rapport des offres publicitaires entre mobile et desktop reste stable… mais varie fortement selon les différents SSP. Avec l'arrivée du RGPD et la multiplication des offres de deals, les achats en OpenRTB continuent de diminuer. Coupe du Monde et soldes obligent, les CPM sont repartis à la hausse sur le display et la vidéo. Les taux de clics moyens restent stables. Ils sont plus importants sur mobile et tablette mais avec des taux d'arrivée plus faibles. La visibilité sur desktop est, sans surprise, bien meilleure que sur mobile. Ligatus prévoit une croissance naturelle des investissements sur le programmatique natif, grâce à des bonnes performances (visibilité, taux d'arrivée…) et une standardisation progressive des formats par l'IAB qui favorise l'adoption du format.

Les chiffres pour le 2nd trimestre 2018. © Adtech News

Retrouvez le baromètre du programmatique au 1er trimestre 2018

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Cet article est issu du dernier numéro d'Adtech News, le supplément trimestriel papier dédié aux dernières tendances pub du JDN et de CB News. Au programme également :  une enquête sur le monde post cookie, un comparatif des solutions de  monétisation des podcasts, une focus sur la SPO et une interview du patron du Geste, Bertrand Gié.