Campagnes e-pub : les 5 péchés capitaux Péché n°5 : Ne faire qu'une campagne de bannières one shot

branislav péric, directeur média chez duke.
Branislav Péric, directeur média chez Duke. © Duke

On le sait aujourd'hui, une campagne de bannières est plus efficace si elle est soutenue par des relations presse, associée à du marketing en ligne et complétée par des liens sponsorisés. "Il est nécessaire de travailler le contexte de recherche Web parallèlement à la campagne display et de contextualiser celle-ci", souligne Branislav Peric, directeur média. Il faut aussi soigner le contexte et fournir du contenu aux internautes au travers du site même de l'annonceur ou encore des sites événementiels dédiés à l'opération en cours.  

Et plus globalement, "mieux vaut pour un annonceur communiquer de manière récurrente sur le Web, tout au long de l'année, et rester présent à l'esprit des internautes, que de faire une campagne one shot." 

En effet, si les campagnes de bannières one shot ont une utilité dans le cadre d'opérations promotionnelles ou localisées, elles ne sont pas suffisantes pour travailler la notoriété d'une marque ou d'un produit. Or la notoriété permet à l'internaute d'identifier rapidement l'annonceur ou la marque pour laquelle est diffusée une campagne. Celle-ci a donc plus de chance d'attirer l'attention, ou mieux, de voir venir à elle des clients en dehors des périodes de campagnes publicitaires qu'elle se paye sur Internet.