Une très forte demande loin d'être comblée

Au-delà des produits transformés, les débouchés pour le safran ne manquent pas. Tout safran cultivé en France trouvera preneur : les restaurateurs en sont friands et apprécient la qualité hexagonale. Les laboratoires pharmaceutiques sont également demandeurs. Véronique Lazerat estime qu'on lui réclame en moyenne 300 kilos par an. A comparer aux 2 kilos qu'elle produit et à la dizaine de kilos maximum que représente la production française totale.
©  Véronique Lazerat

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