... tout comme la perte d'appétit des investisseurs

Source : National Association of Realtors. © JDN

La hausse des taux d'intérêt des prêts hypothécaires n'est pas la seule à pouvoir calmer les ardeurs des acquéreurs. Surtout quand la majeure partie d'entre eux n'a pas besoin de passer par la case emprunt. D'après Goldman Sachs, plus de la moitié des biens vendus aux Etats-Unis entre janvier 2012 et août 2013 ont été payés comptant, contre 10% en 2005.

Selon la NAR, ces acheteurs fortunés représentent 31% du marché immobilier en octobre 2013. Parmi eux, des investisseurs susceptibles de se détourner de la pierre au profit des obligations du Trésor américain si leur rendement augmente, ce qui était le cas entre avril et septembre 2013 (+ 1,1 point).

Pause