Carlos Ghosn, visionnaire

Carlos Ghosn, PDG de Renault-Nissan, le 2 février 2011. © Rodolfo Bührer /Renault / Photomontage JDN

Carlos Ghosn, PDG de Renault-Nissan, dans une interview à l'Express le 2 février 2011.

"Nous n'avons quand même pas monté cette affaire [d'espionnage] de toutes pièces ! Croyez-vous un instant que le procureur de la République de Paris aurait pris notre plainte en considération si notre dossier était vide ?". Un mois après, le patron avouait penaud sur TF1 qu'il s'était "trompé". Les trois cadres de Renault, accusés à tort d'espionnage, ont été indemnisés et le numéro deux du groupe, Patrick Pélata, a dû démissionner.

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