J'ai quitté Callac en 1957, mais j'ai toujours la nostalgie de ma ville natale et j'aime y retourner de temps en temps, bien sur je ne reconnais plus personne mais j'aime comme je le dis toujours respirer mon air. Ensuite je me sens beaucoup mieux. C'est une ville si tranquille ou l'on se sent bien.