Véretz (37270), Indre-et-Loire

Personnellement je suis arrivée à veretz à l'âge de deux ans en 1985. J'y est acheté ma maison en 2012 et j'aime tjrs autant mon village. Tout est a disposition, école, médecins, supermarché, des associations, la fête des berges ... Comme partout, tout évolue, mais tout le monde a le droit à son petit bout de paradis ... Même dans un lotissement ????

Quel dommage, cet urbanisme bâclé, cette avidité de constructions pavillonnaires en dépit du bon sens et de la réflexion sociale et écologique, ces nouveaux quartiers sans queue ni tête qui vieilliront mal, cette laideur rampante qui aurait pu être évitée, cette dortoirisation de la campagne qui participe de la dissolution du lien social. Le nouveau Véretz est l'un des visages de la grande solitude contemporaine.

Quel dommage ! : Veretz a perdu son identité de village historique à cause d'une trop forte émancipation urbanistique. Le vieux bourg historique (rue vieille, rue des guéridons, rue moreau vincent) est laissé à l'abandon par une mairie qui hélas doit avoir d'autres priorités. Ce serait trés bien que le maire et ses adjoints prennent conscience de ce patrimoine qui attire bien des promeneurs. Ce que j'aime à Véretz : Les bords du cher et son château, cadre magnifique surtout l'été. La rue chaude rénovée, la couleur de la pierre de touraine. Ce que je n'aime pas à Véretz : Le pauvre escalier communal qui grimpe la rue moreau vincent jusqu'à la mairie. Il tombe en décrépitude et devient même trés dangereux. A lui seul, il résume l'abandon de ce côté du vieux bourg.

Vérètzois pendant plus de 20 ans : Vérètzois entre 1978 et 1997, j'ai aimé grandir dans ce petit village qui est devenu gros, bien trop vite. Ce que j'aime à Véretz : Le Cher au bord duquel il est particulièrement agréable de se promener à la belle saison. Ce que je n'aime pas à Véretz : La manière dont la commune est gérée, notamment dans le secteur de l'urbanisme. Constructions à la va vite de quartiers pavillonnaires, en dépit du bon sens.