10 idées nouvelles sur les ERP avec Sage La Business Intelligence dans l'ERP, c'est possible
Si la Business Intelligence est à ce point indispensable à la bonne gestion d'une entreprise, pourquoi n'est-elle pas plus largement utilisée ? Tout simplement parce qu'un tel projet peut être long, compliqué et coûteux. Mais cela coûte cher si on redéveloppe toutes les procédures : modéliser les structures décisionnelles, alimenter la base à partir de données fiables et cohérentes, créer des tableaux de bord, des indicateurs pertinents et personnalisables à volonté. Bref, si l'on se lance dans un projet décisionnel autonome, il faut y consacrer au minimum 150 000 euro et l'addition peut monter jusqu'à un million.
En revanche, on peut bénéficier des avantages de la Business Intelligence tout en réduisant son budget si l'on utilise un ERP intégrant des fonctions décisionnelles de façon packagée : on évite ainsi de développer en double les mêmes procédures, d'alimenter en parallèle des bases de données qui vont contenir sensiblement le même type d'information. Et la sécurité de l'ensemble ERP-BI sera renforcée. C'est une économie de 5 à 10 fois le budget d'un projet de BI autonome.
Sage ERP X3 constitue un exemple de cette intégration de fonctions décisionnelles dans un ERP : il s'appuie notamment sur des technologies Business Objects. Sage propose ainsi une solution prête à l'emploi, avec des indicateurs de performance livrés en standard (analyse des ventes, des achats, de la production, des prix de revient, de la fabrication, les optimisations de stock, des tableaux de bord comptables, etc.) pour accroître la réactivité des entreprises. Tout le décisionnel peut être piloté directement à partir de Sage ERP X3, simplifiant ainsi le processus de pilotage des outils.
Mais attention toutefois. Pour que l'intégration avec l'ERP soit optimale, les solutions décisionnelles choisies devront être personnalisables et modifiables. En effet, en perpétuelle évolution, l'entreprise peut opter à un moment donné pour un ERP correspondant mieux à son volume d'activité. Par ailleurs, il faut veiller à la pertinence des indicateurs proposés : l'expérience métier de l'éditeur fait toute la différence.