Assurer le pilotage stratégique de ses projets avec un outil de GPP Panorama GPP - Les critères de choix

Un temps cantonnées au département R&D des entreprises, les solutions de gestion de portefeuilles de projets (GPP) trouvent un écho de plus en plus fort auprès des directions opérationnelles et du top-management qui les perçoivent comme un outil de pilotage stratégique à part entière (lire l'article du 24/03/2006).

Pour répondre à des besoins de suivi de projets de plus en plus complexes, les éditeurs de solutions de GPP ont d'ailleurs dû étendre la couverture fonctionnelle de leurs offres en allant au-delà de la gestion (classique) de suivi des ressources, des temps et des dépenses.

Les critères de choix
Source : Journal du Net
1Gestion des demandes, ressources, temps, dépenses, compétences et prévision des ventes
2Représentations GANTT, PERT et drill-down des données BI
3Prise en charge WBS, RBS, CBS et OBS

"En plus de la gestion financière et des demandes, certaines solutions couvrent des fonctionnalités moins répandues comme la gestion des compétences, des workflows et des prévisions des ventes ", fait savoir Frédéric Saunier, directeur du pôle mise en oeuvre des solutions de gouvernance SI d'i.SPA Consulting.

Les capacités de reporting et de représentations graphiques varient également d'une offre à l'autre. Ainsi, aux côtés des histogrammes, camemberts et autres bubble charts, la prise en charge de diagrammes de GANTT et de PERT pourra être de mise. Tout comme la fonctionnalité de drill-down BI, consistant à exploiter ses données décisionnelles sur plusieurs niveaux, via son son outil de GPP grâce au connecteur fourni en natif avec sa solution.

Afin de faciliter l'adoption de sa solution de GPP et pour ne pas trop déstabiliser les utilisateurs, mieux vaut s'assurer que sa solution de GPP puisse gérer différentes méthodes de suivi de projet. Parmi lesquelles WBS, RBS, CBS et OBS. Pour autant : "il est important de ne pas limiter sa GPP à l'aspect de suivi du projet mais de prendre en compte d'autres éléments comme les exigences du projet, les risques et les revues afin de bien maîtriser son portefeuille de projet", précise Eric Chanal, directeur du pôle CMMI du cabinet de conseil SQLI.