Cap sur le KM et l'e-learning

"Notre plate-forme de gestion des connaissances, testée par un groupe d'une trentaine de personnes au niveau monde, a été amortie en 3 ans, pour un coût initial de 260 000 euros", a déclaré Estelle Michaut-Querrien, responsable projet KM chez Vallourec (à g. sur la photo). Etaient également présents sur la table ronde consacrée aux enjeux du KM Christophe Binot (Total) et Jean-Christophe Loubet del Bayle (Saint-Gobain Vitrage), respectivement au centre et à droite sur la photo. © Benchmark Group

Que l'on utilise un développement spécifique ou une solution du marché, tous les moyens à mettre en œuvre sont bons pour favoriser la création, le partage et la circulation des connaissances et également l'apprentissage en ligne.

Chez Saint-Gobain Vitrage, où 6 000 membres actifs participent à plus de 200 communautés métiers, la priorité a ainsi été donnée au choix d'un outil qui soit facilement maintenable, en prêtant dans le même temps une attention particulière à sa pérennité. Un postulat qui a amené l'entreprise à opter pour la solution Adobe Presenter à laquelle plusieurs masques e-learning ont été ajoutés.

Total, de son côté, a préféré opter pour un LMS traditionnel, WBT manager (Xperteam), disponible pour l'ensemble de ses branches métiers, tandis que pour l'aspect collaboratif, des règles de cooptation par communautés ont été mises en place afin de s'assurer de la meilleure pertinence possible des contenus publiés sur ces espaces.

Pour mettre toutes les chances de leur côté, certaines entreprises, comme Vallourec, n'ont pas hésité à mettre en place des comités de pilotage spécifiques, qui se réunissent tous les deux mois, afin de suivre les évolutions et besoins des utilisateurs en matière de collaboration et de partage de connaissances.

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