Radio France rationnalise sa gestion de parc à travers un portail Une gestion du parc informatique, de matériel sonore, de la climatisation...

Un inventaire des matériels IT et non-IT réalisé durant l'été 2008 

PC, imprimantes, réseaux, appareils de studio (platines, micros, casques...) mais aussi équipements de climatisation, systèmes d'énergie... Radio France décide de recourir à l'outil de PS'Soft pour gérer toutes les ressources matérielles, à la fois informatiques et non-informatiques. Seule exception : les instruments de musique de la maison ronde.

La création de référentiels humain, de localisation, et d'actifs

En vue de préparer la phase de paramétrage, trois référentiels nécessaires au bon fonctionnement de l'outil ont été définis. Un référentiel de localisation est créé à partir d'une application existante - centrée sur la gestion des surfaces (avec une structuration par site, étage...). Un référentiel humain est conçu par le biais des outils de gestion RH de Radio France et son annuaire OLAP.

Enfin, un référentiel des actifs est réalisé. "C'est celui qui a demandé le plus de travail, car nous ne disposions pas d'une base consolidée dans ce domaine", commente Michel Speranzon. Radio France a par conséquent effectué un inventaire durant l'été 2008, en juillet. Une période propice, consacrée à la préparation des grilles de programmation de la rentrée, qui permet de parcourir les studios sans interrompre l'antenne ou les enregistrements.

Une harmonisation des flux d'achat

Comment le nouveau portail a-t-il été accueilli par les utilisateurs ? "Plutôt bien",  répond Michel Speranzon. Une solution de gestion d'actifs intégrée était en effet très attendue par les différentes parties prenantes des processus de maintenance et de renouvellement des matériels IT et non-IT. Sans compter les deux directions des achats techniques : l'une en charge de la gestion des bâtiments et l'autre de l'infrastructure de production. Au delà de l'apport en termes d'aide à la décision des budgets, "le projet nous a permis d'harmoniser les flux d'achat entre ces deux directions", conclut Michel Speranzon.