Des interfaces graphiques très visuelles

Dans Hackers (1995), une intrusion informatique devient une véritable plongée dans un univers 3D. © MGM

Pirates et hackers de fiction sont mieux lotis que leurs homologues de la "vraie vie". Ces derniers n'ont pas la chance de bénéficier comme eux de logiciels aux interfaces graphiques colorées. Ils doivent au contraire souvent se contenter de lignes de commande et d'interfaces minimalistes. Handicap pour les pirates de cinéma : l'usage de la souris est souvent proscrit.

De même, toutes les actions, dont les attaques de virus, sont illustrées de messages ou d'animations explicites, quand ce n'est pas directement une animation en 3D comme dans Hackers. Le cinéma a en effet besoin de codes visuels pour communiquer. Les véritables virus cherchent, eux, plutôt la furtivité.

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