GhostNet : la Chine dément toute implication

La réponse chinoise n'a pas tardé. Accusé depuis une semaine d'héberger, voire de promouvoir, le piratage sur Internet, ce pays vient de réfuter en bloc ces charges. Une étude de l'université de Toronto avait mis en avant les liens entre la Chine et GhostNet, un réseau rassemblant 1 295 ordinateurs dans plus de 100 pays de par le monde, utilisé dans le cadre d'attaques informatiques. Le porte parole du ministère des affaires étrangères de la Chine s'est exprimé publiquement à ce sujet, mentionnant que les «rumeurs» étaient «entièrement fabriquées».