A lire ailleurs du 5 décembre 2008

10 bobards de vendeurs d'ERP - Oui pour des antivirus sur Mac... puis non - Attention contrôle de routine des mauvaises pensées.

10 bobards de vendeurs d'ERP. Vinnie Mirchandani est souvent sollicité par les entreprises lors du choix d'une solution. Il a donc longuement côtoyé les vendeurs de progiciels, dont ceux d'ERP. Ces derniers ont leurs rengaines, des astuces parfois bien peu subtiles. Le consultant en a fait part à CIO dans une sélection des 10 plus belles perles de commercial. Si un responsable produit d'un éditeur d'ERP vous explique vouloir avant tout être un partenaire et non un vendeur, croyez-le mais demandez-lui une preuve d'amitié : un siège au comité de direction. C'est après tout ce qui se fait entre partenaires. Les commerciaux sont aussi friands des mesquineries à l'encontre de leurs concurrents. Avec de la chance, un autre vendeur est passé quelques jours avant, vous faisant part des mêmes rumeurs envers l'entreprise rivale. Certains démarcheurs sont plus téméraires et clament sans sourciller ne pas avoir de concurrent. C'est commode. Mais le marché est-il bien mûr dans ce cas ? Une absence de compétition pourrait amener à en douter. Les hérauts des ventes raffolent aussi d'une phrase : Gartner (ou Forrester) nous a placé au mieux dans le Magic Quadrant. Dommage que ces carrés providentiels changent si souvent.  Négocier les prix provoquent aussi des réparties éculées laissant entendre que l'éditeur se saigne littéralement. Lire

Oui pour des antivirus sur Mac... puis non. Apple a toujours clamé haut et fort que son système ne craignait pas les virus. La blogosphère et la presse se sont donc émues d'une découverte surprenante sur le site du support aux utilisateurs d'Apple, écrit Money Times. Sur une page, dont on apprendra plus tard qu'elle date déjà de plus d'un an, l'éditeur recommande avec le plus grand sérieux d'acheter un, voire même plusieurs antivirus pour se protéger. Apple semble apprendre la nouvelle en même temps que le reste du monde. La page est vite retirée et le service communication de l'entreprise prié de rédiger fissa un communiqué. Un porte-parole d'Apple y explique que l'article a été retiré du support en raison de son obsolescence et de son imprécision. Il a en outre rappelé que Mac intégrait des technologies apportant une protection contre les programmes malveillants et les risques de sécurité. Il conclut enfin par une note d'humilité : "Aucun système n'était immunisé à 100% à toutes les menaces, utiliser un antivirus peut apporter une protection additionnelle". Tout est donc finalement rentré dans l'ordre chez Apple. Les utilisateurs peuvent se rassurer. Mac OS est sûr... tout comme la téléphonie 3G sur iPhone est aussi rapide que le démontraient les spots publicitaires diffusés au Royaume-Uni. Oui certes, l'autorité anglaise de la publicité vient d'en ordonner l'interdiction en raison de leur caractère mensonger. Mais ce qui importe après tout, c'est ce que s'imaginent ou pensent les clients d'Apple. Lire

Attention contrôle de routine des mauvaises pensées. On arrête plus le progrès. Athena GS3, une entreprise de sécurité israélienne a eu une idée, rapporte CNN. Elle veut analyser les intentions et émotions des passagers du transport aérien. Il s'agirait ni plus ni moins que de réaliser une empreinte du cerveau d'un individu, une nouvelle application de la biométrie en somme. Sur le papier l'idée a le mérite d'être surprenante. Concrètement ce contrôle ou cette identification des mauvaises pensées reposerait sur la combinaison d'une technologie infrarouge, de senseurs, d'imagerie et surtout d'images flash subliminales... comme une photo d'Osama Bin Laden. Les capteurs sont là pour détecter notamment une hausse de la température corporelle et du rythme cardiaque. Une respiration de travers et voilà le voyageur épinglé. Ces signaux pourraient en effet traduire une volonté de commettre des actes terroristes. Les experts en sécurité d'une autre entreprise, WeCU, sont formels : il s'agit d'une méthode bien moins intrusive et discriminatoire que les techniques habituelles. Quelle que soit la religion ou la couleur de peau du suspect, c'est avant tout ses réactions physiologiques qui le désignent comme un danger. Efficace et économique, assure-t-on chez WeCU. Les Etats-Unis ont bien évidemment déjà passé commande. Le département du transport et de la sécurité nationale aimeraient ainsi soumettre le personnel du transport aérien à ce contrôle biométrique.  Lire

 
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Source : JDN Solutions
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