Collaboratif :
la SNCF garde le contact avec ses architectes en Chine Par JDNet Solutions (Benchmark Group) URL : http://www.journaldunet.com/solutions/0211/021105_k_sncf.shtml Lancer l'impression Lundi 4 novembre 2002
Echanger les plans
La décision est radidement prise d'investir dans Buzzsaw, une plate-forme collaborative éditée par Autodesk et qui reprend - en les enrichissant - les fonctions classiques du transfert de fichiers via FTP. L'AREP dispose dès lors d'un giga octet d'espace disque hébergé par Autodesk, sur lequel on peut créer des répertoires et stocker des fichiers avant de les consulter depuis un petit logiciel - qui se glisse dans l'interface d'Internet Explorer. Le coût de la solution : 8 000 dollars par an. Fonctions avancées
Dernière fonction phare de Buzzsaw : l'annotation de fichiers. "Il est possible d'entourer telle ou telle partie d'un plan, et d'y insérer des remarques", indique Laurent Praden, ingénieur senior chez Autocad. Un outil fort utile lorsque l'on veut collaborer avec un collègue travaillant à des milliers de kilomètres. Excellent ROI
Un bénéfice considérable, mais qui ne fait pas la part belle aux fonctions d'annotation et de gestion des droits. Rien de plus logique : "ce sont des fonctions dont nous ne nous servons pas - avoue Frédéric Lamu. J'ai bien fait le tour des services pour les présenter aux architectes car j'étais convaincu que c'était là un outil utile. Mais je n'ai vu personne s'en servir par la suite." Et l'administration des droits ? "Nous nous y sommes bien essayés, mais les bénéfices étaient trop maigres comparativement au temps que celà nous coûtait." Des fonctions avancées de Buzzsaw, l'AREP n'a donc retenu que la visionneuse universelle. De la pauvreté
des usages Un constat repris à son compte par Autodesk : "pour tirer parti de toutes les fonctions d'un outil coolaboratif, il faut bien souvent faire une petite révolution en interne, ce dont la plupart des entreprises se gardent bien - explique Laurent Praden. Pour que l'organisation d'une entreprise change, il faut qu'un homme prenne le risque d'en porter l'étendard. Le plus souvent, les employés se content de s'accaparer les fonctions du logiciel qui répondent aux besoins criants, celles qui apportent une aide tangible et immédiate".
Le travail collaboratif sur ordinateur semble donc encore réservé à un petit groupe de pionniers. Mais comme le souligne Laurent Praden, "les choses vont changer, lentement, mais sûrement". [Nicolas Six, JDNet]Pour tout problème de consultation, écrivez au Webmaster Copyrights et reproductions . Données personnelles Copyright 2006 Benchmark Group - 69-71 avenue Pierre Grenier 92517 Boulogne Billancourt Cedex, FRANCE |
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