Autovalley.fr, première société à intégrer le pôle Internet du groupe BNP-Paribas Le portail automobile intègre le pôle Internet du groupe bancaire, dont la création avait été annoncée par son PDG Michel Pébereau le mois dernier.

Une bonne nouvelle pour Autovalley.fr. Le portail automobile constitue aujourd'hui le premier maillon du pôle Internet de BNP-Paribas pour lequel Michel Pébereau, patron du groupe, a annoncé un investissement de 700 millions d'euros sur trois ans.
Depuis le lancement du site, le portail aurait permis la vente de 170 véhicules depuis son lancement en juin 99. Autovalley.fr auraît connu une accélération sur les trois derniers mois avec une centaine de véhicules vendus via son intermédiaire.
Aujourd'hui confortée par son intégration dans la branche Internet du groupe BNP-Paribas, la société, créée à l'initiative de Philippe Brindel, a lancé fin mars une petite campagne de communication "on" et "offline" d'un montant de 750.000 francs. Conçue par l'agence FKGB, elle comporte une campagne de bannières sur douze sites à la cible CSP+ et 200 spots radios diffusés sur BFM, RFM et Europe 2. D'après les premières retombées, cette campagne a permis une véritable progression de l'audience. Le nombre de visites quotidiennes est ainsi passé de 750 à plus de 2.000 visites aujourd'hui avec des pointes à 4.500 pendant la campagne. Une autre campagne beaucoup plus massive et à destination du grand public est envisagée mais reste conditionnée par les budgets octroyés par le groupe bancaire, qui constitue l'unique partenaire financier.
Comme nous l'écrivions dans notre rubrique "Confidentiel JDNet" du 25 mars dernier, Autovalley vient de se voir confier la rubrique "boutique automobile" du site Multimania. En revanche, le partenariat, pressenti au mois de janvier dernier avec un important équipementier automobile français, n'a pas abouti à ce jour. Le site bénéficie de synergies avec d'autres entités du groupe parmi lesquelles la société Arval, l'un des principaux loueurs français de parcs automobiles professionnels ou encore les sociétés de financement Cofica et Cetelem. [Fabien Claire, JDNet]