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Mercredi 15 mars 2000  

Staffware veut imposer le workflow sur fond de 35 heures

Présente dans 50 pays, avec un chiffre d'affaires global de 250 millions de francs en 1999, côté au second marché de Londres et bientôt au premier, la société Staffware est encore peu connue sur le territoire français. Cette situation est susceptible de changer avec les ambitions qu'affiche la société.
Spécialisée dans l'automatisation par le workflow depuis 1984, cette société s'est implantée en France en 1999. Staffware est structurée par grandes business units. La filiale française dépend de la business unit BFG (Benelux France Germany) placée sous la responsabilité d'un manager basé en Hollande.
Le directeur général de Staffware France, Gilles Laurent, énonce les raisons de l'implantation de Staffware en France: "Jusqu'à l'année dernière, le marché français du workflow était quasi inexistant. Les produits d'automatisation des tâches étaient perçus comme des solutions de surveillance du travail. L'amélioration de la productivité était un sujet tabou. Cette situation a radicalement changé. Avec les 35 heures, les problématiques sont nouvelles, il faut faire la même masse de travail avec moins de temps passé au bureau, et la flexibilité devient un atoût majeur pour imposer le workflow."
Ainsi en un an d'existence, la filiale française a bouclé 14 projets auprès de grands comptes de la Finance, de l'assurance, et des opérateurs de télécommunications. Le coût moyen d'un tel projet de 400 à 500 000 francs, "en terme de licences sans intégration" précise Gilles Laurent. Dans le cas d'une intégration la facture monte allégrement aux alentours de 2 millions de francs. Pour cette prestation, des contrats ont été signés avec huit sociétés présentes en France, dont Cap Gemini, Unilog et Unysis. Staffware, qui rassemble une équipe de cinq personnes, se contente d'apporter son expertise consulting.
La prochaine étape de Staffware passe par la création d'une division dédiée à l'e-business, eProcess. Le groupe a investi 200 millions de francs sur trois ans dans cette division qui va étendre ses compétences dans six domaines: le Supply Chain Management, le Customer Relationship Management, l'e-procurement, l'automatisation des transactions financière, le WAP et l'intégration avec les serveurs d'applications. Gilles Laurent explique le concept de cette division: "Pour chacune de ces 'lines of business', l'idée est de développer des partenariats stratégiques avec des entreprises, qui peuvent prendre différentes formes jusqu'à la joint venture, ceci par pays. Ainsi pour ce qui est du WAP, un partenariat a été conclu avec Ericsson en Suède." En France, les premiers partenariats sur lesquels travaille Gilles Laurent, devraient être annoncés dans les semaines qui viennent. [Christophe Dupont, JI]

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