PARTENAIRE
|
Sociétés
technologiques à forte croissance vous voilà
prévenues : les inscriptions pour la deuxième
édition du Technology Fast 50 France sont ouvertes
sur le site
dédié à l'événement
et ce, jusqu'au 11 octobre prochain. Organisé
par Deloitte & Touche, en partenariat avec Euronext,
Bfinance et Le Journal du Net, le Technology
Fast 50 se concrétise par un classement annuel
établit en fonction de la progression du chiffre
d'affaires des entreprises participantes. "Au début
des années 90, aux Etats-Unis, Deloitte &
Touche a mené plusieurs études sur la
façon la plus efficace pour les entreprises de
créer de la valeur, explique Noémie Keller,
chef de projet du Technology Fast 50. En fait, la croissance
du chiffre d'affaires est apparue la synergie la plus
virtueuse. L'idée du classement est née
de ce constat."
Lancé
aux Etats-Unis en 1995, avec des classements Etat par
Etat, le Technology Fast 50 s'est depuis étendu
à l'Europe, pays par pays, selon le même
modèle. Pour s'inscrire, les entreprises doivent
justifier d'au moins quatre ans d'activité (cinq
ans pour les Etats-Unis), ne pas être contrôlée à plus
de 50 % par un autre groupe et être actives sur
le plan technologique. "Ce n'est pas un paramètre
restrictif, note Noémie Keller. Nous retrouvons
par exemple dans le classement des web-agencies. Elles
ont été admises à concourir car
elles justifient de développements informatiques
avec des solutions propriétaires. L'aspect R&D
est également pris en compte."
L'année dernière,
l'édition française du Technology Fast
50 a attiré quelque 280 entreprises. Pour le
premier palmarès, l'éditeur de logiciels
Netquartz avait décroché la plus haute
place du podium avec une croissance de son chiffre d'affaires
sur trois ans de 1 205 %. Un score encore
loin du record mondial du Technology Fast 50, détenu
par l'éditeur américain Siebel Systems
avec une croissance de... 782 978 %. "Mais
on ne peut pas comparer les classements américains
et européens, souligne Noémie Keller,
ne serait-ce qu'à cause de la différence
de taille des marchés domestiques qui influence
directement l'évolution du chiffre d'affaires."
Tout comme l'année
dernière, l'édition 2002 du Technology
Fast 50 France comprend
trois palmarès régionaux : à
Nantes, Grenoble et Sophia-Antipolis. Ces trois palmarès,
qui seront dévoilés début décembre,
seront suivis par un palmarès national, présenté
le 19 décembre au Palais Brongniart. Le classement final,
qui distingue les trois premières entreprises,
sera accompagné de trois autres récompenses :
le "Prix spécial du Jury" pour la création d'emploi,
le Trophée "Euronext" pour la première société
cotée du palmarès et le "Prix spécial Blue Chip
of Tommorrow" pour la première entreprise du palmarès
ayant un chiffre d'affaires pour l'exercice 1998 au
moins égal à 15 millions d'euros.
Les cinquante entreprises
françaises retenues au palmarès seront
par la suite intégrées au Fast 500 qui
regroupe l'ensemble des classements européens.
"Avec ce dispositif, nous voulons fidéliser
les entreprises d'une année sur l'autre et imposer
le Technology Fast 50 comme un véritable label,
indique Noémie Keller. Car le fait de participer
à ce concours dénote certains aspects :
l'année dernière, dans le palmarès
français, environ 80 % des entreprises étaient
rentables. Et cette année, malgré la morosité
financière, la plupart des entreprises continuent
d'enregistrer une croissance importante." Une bonne
carte de visite.
|