Vous
dites plutôt...
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Sondage
en ligne du 8 au 12 janvier
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Il
y a plusieurs façons de voir le problème.
La première façon, pessimiste pour les
puristes de la langue française, considérera
que malgré la décision en juin 2003 de
la "Commission générale de terminologie et de néologie"
d'employer le mot courriel, le succès n'est toujours
pas au rendez-vous (7,7 % des suffrages pour cette
expression venue du Québec).
Le deuxième
façon, plus optimiste, notera que le terme anglais
mail s'impose largement (56,7 % des lecteurs) mais,
qu'à bien y réfléchir, le mot "mail"
fait partie de la langue française en qualité
de petite masse cylindrique de bois, petite cousine
du maillet. Et parfois, avec le spam, osons le dire,
le courriel prend l'allure d'un mail.
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