A. Simple test
var nbr = documents.length;if (nbr = 0) { alert("Vous devez d'abord ouvrir un fichier"); }
B. Une boucle
while (app.documents.length) { activeDocument.close(); }
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Si les scripts disposent des mêmes possibilités que les actions, ils peuvent également aller beaucoup plus loin. Les scripts, parce qu'ils utilisent de vrais langages plutôt que le système de clics accessibles aux actions, disposent de syntaxe beaucoup plus complète : instructions if-then-else, opérateurs booléens (vrai/faux), calculs, boucles, comparaisons... Les actions restent à la portée des graphistes, tandis que les scripts nécessitent déjà une connaissance dans un des langages reconnus. En un sens, chaque système étend l'autre : les scripts peuvent lancer des actions, et vice-versa.
Les fichiers JavaScript sont à stocker dans le dossier Presets/Scripts de Photoshop, avec une extension .js ou .jsx. On les exécute à partir de l'option Script du menu Fichier. Les quatre scripts par défaut sont assez compliqués, nous allons donc d'abord voir un script de test simple [A].
Tout comme, dans un navigateur, JavaScript travaille avec le document courant de l'application par le biais de l'objet document, le fichier ouvert par Photoshop est accessible via l'objet documents (ou app.documents). Avec [A], on récupère le nombre de documents ouverts, et nous affichons un message d'alerte si celui-ci est nul. De nombreux objets sont ainsi disponibles, avec toutes les méthodes.
Les structures classiques que JavaScript sont donc accessibles pour créer des comportement évolués, comme le montre l'usage simple de la boucle while() pour fermer tous les documents ouverts [B].
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