e*Gate
fait dialoguer les applications
Il
y a quelques années, pour faire communiquer plusieurs
applications, il fallait développer des passerelles
spécifiques capables de comprendre les flux d'information
et de les traduire d'un outil à l'autre. Outre
des temps de développement assez longs, la maintenance
était rendue difficile par l'obligation de revérifier
et de modifier toutes les interfaces reliées
aux applications incriminées.
Aujourd'hui, l'arrivée des outils d'EAI (Enterprise
application integration), comme e*Gate de STC, change la donne.
Avec un temps de développement beaucoup moins long,
la maintenance ne pose plus de problème puisqu'il suffit
de modifier les paramètres entrés au départ
dans le progiciel d'EAI, ou middleware, pour lui faire prendre
en compte les changements intervenus au sein même des
applications.
Lors de la première installation d'e*Gate, le progiciel
analyse les échantillons d'informations qui lui proviennent
des différentes applications (ERP, CRM, business intelligence,
bases de données...) pour lesquelles il joue le rôle
d'interface. Ensuite, l'utilisateur saisit les paramètres
d'exploitation de ces informations. Une fois en fonctionnement,
e*Gate se charge de l'interprétation des flux de données,
de leur conversion et de leur acheminement vers la bonne application.
Par rapport à la version précédente,
e*Gate 4.0 dispose d'une architecture distribuée
sous forme de composants, qui lui permet de répartir
les flux d'informations suivant une route orientée
vers un seul ou plusieurs serveurs. D'après Arnaud
Decarsin, directeur de STC France, les gains de productivité
que génère e*Gate peuvent aller jusqu'à
80 % pour des architectures complexes multi-serveurs
avec de nombreuses applications. [François
Morel, JI]
Responsable de rubrique : Alain Steinmann
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